Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, un film de Ken Scott présenté en salle le 12 juin à Vancouver


Une nouvelle saison CINÉMA estivale

Jeudi 12 juin 2025 | 7 PM

Au / at : 6161, Cambie Street, Vancouver.


Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan

Un film de Ken Scott, France, Québec, 2025, 102 min, avec Leïla Bekhti, Jonathan Cohen, Joséphine Japy, Sylvie Vartan. In French w E. subt.

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Synopsis: En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d’une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l’empêche de se tenir debout. Contre l’avis de tous, elle promet à son fils qu’il marchera comme les autres et qu’il aura une vie fabuleuse. Dès lors, Esther n’aura de cesse de tout mettre en oeuvre pour tenir cette promesse. A travers des décennies d’épreuves et de miracles de la vie, ce film est le récit d’une histoire vraie, drôle et bouleversante, celle d’un destin incroyable et du plus grand amour qui soit : celui d’une mère pour son enfant.
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Synopsis: In 1963, Esther gave birth to Roland, the youngest of a large family. Roland was born with a clubfoot that prevented him from standing . Against everyone’s advice, she promised her son that he would walk like the others, and that he would have a fabulous life. From then on, Esther did everything in her power to keep this promise. Through decades of trials and miracles, this film is the story of an incredible destiny and the greatest love of all: that of a mother for her child. 

Un touchant hommage aux mères courage.



Une co-présentation avec l’Alliance française Vancouver


Notes:

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est adapté du roman autobiographique éponyme de l’avocat français Roland Pérez paru en 2021. Il y raconte le combat acharné mené par sa mère dans les années 1960 et 1970 pour que son fils, né avec un pied bot, marche, alors que les médecins lui disaient qu’il serait handicapé. Le petit garçon trouve dans sa fascination pour la chanteuse Sylvie Vartan – la Taylor Swift française de l’époque, selon Roland Pérez – un moyen de supporter le traitement qui finit par lui permettre de marcher. Devenu avocat, alors qu’il vient d’une famille modeste et nombreuse, Roland Pérez finit par compter Sylvie Vartan parmi ses clients et ses amis.” (Radio-Canada)


“Fidèle à ses habitudes, Ken Scott navigue habilement entre la comédie et le drame. En aucun temps, Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan ne sombre dans la farce vulgaire, la chronique familiale mièvre ou le mélo larmoyant. Tandis que le générique de fin défile, on quitte la salle avec le bonheur d’avoir feuilleté furtivement de vieux albums de photos de famille.” (LaPresse)