UN OURS DANS LE JURA, comédie noire signée Franck Dubosc présentée le 16 juillet

Une programmation estivale exceptionnelle vous est présentée en juillet 2025, au 6161 Cambie, par Visions Ouest Productions et L’Alliance française Vancouver, une nouvelle série de films récents, sous-titrés.


In July 2025, at 6161 Cambie, Visions Ouest Productions and l’Alliance française Vancouver will present a new series of recent films, in French with English subtitles.


Un ours dans le Jura (How to make a killing)

Mercredi 16 juillet 2025 | 7 PM

Au / at : 6161, Cambie Street, Vancouver.



Un film de Franck Dubosc, France, 2025, 113 min, avec Franck Dubosc, Laure Calamy, Benoît. Poelvoorde, Joséphine de Meaux. In French w E. subt.

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Synopsis : Michel et Cathy, vendeurs de sapins, vivent dans un petit village du Jura avec leur fils de 12 ans, Doudou, un enfant au comportement difficile. Criblé de dettes et faisant face à bien d’autres difficultés financières, le couple se déchire petit à petit. Jusqu’au jour où, en rentrant chez lui, Michel évite de justesse un ours sur la route ; son auto finit sa course en heurtant une voiture qui se trouvait sur le bas-côté, tuant sur le coup ses deux passagers. Après avoir averti sa femme, Michel et cette dernière décident de se débarrasser ensemble des corps. Mais, ce faisant, ils trouvent dans le coffre du véhicule un sac rempli d’argent dont ils évaluent le montant à plus de 2 millions d’euros.

Synopsis : Michel and Cathy, tree sellers, live in a small village in the Jura with their 12-year-old son, Doudou, a child with difficult behavior. Riddled with debts and facing many other financial difficulties, the couple are gradually being torn apart. Until one day, on his way home, Michel narrowly avoids a bear on the road; his car ends up hitting a car on the side of the road, killing its two passengers instantly. After alerting his wife, Michel and his wife decide to dispose of the bodies together. But as they did so, they found a bag full of money in the trunk of the car, valued at over 2 million euros.

Un ours dans le Jura est un film drôle, surprenant, dont la force se trouve dans ses personnages pleins d’humanité, de contradictions et qui ont ce petit côté amoral”. (LaPresse)



Une co-présentation avec l’Alliance française Vancouver


Notes:

« Un ours dans le Jura, de Franck Dubosc, surprend et flirte avec le film de genre : ce polar glacial à l’humour noir s’inspire de Fargo, des frères Coen. (…) Que faire ? « Au départ, le film devait s’appeler L’argent ne fait pas le bonheur, mon cul… je voulais montrer que l’argent fait tourner la tête, que tout le monde en a envie et en a besoin, que ça fait rêver, et que ça transforme notre vie, qu’on soit vendeur de sapins, gendarme, commissaire, curé. Il y a quelque chose d’immoral dans ce rapport à l’argent. Notre talon d’Achille passe par l’argent et on peut acheter tous les habitants de ce petit village, avec l’argent ! », s’exclame-t-il. Franck Dubosc confie qu’il aime les films de genre et les histoires rocambolesques incarnées par des gens ordinaires. » (LaPresse)


« (…) le film de Dubosc se distingue notamment par ce que les personnages décideront, à terme, de faire de l’argent. On ne révélera pas quoi, sinon qu’à l’inverse du constat d’égoïsme que dressent ses prédécesseurs, Un ours dans le Jura préfère voir un potentiel communautariste. C’est d’autant plus satisfaisant que c’est inattendu. » (LeDevoir)


« Franck Dubosc ne cache pas s’être librement inspiré du ton et des ambiances des comédies noires américaines à la Fargo pour écrire son nouveau film, Un ours dans le Jura. Il signe ainsi un polar amusant et bourré de suspense. (…)

Disons-le d’emblée: Franck Dubosc ne réinvente pas la roue avec cette comédie noire qui rappelle l’univers des films des frères Coen (Fargo, Le Grand Lebowski). Mais l’acteur et réalisateur français a réussi à s’approprier efficacement le genre en y insérant une pointe d’humour grinçant et en intégrant à son récit une galerie de personnages drôles mais attachants, «des gens ordinaires plongés dans des situations extraordinaires» comme se plaît à le dire lui-même Dubosc.

Benoit Poelvoorde est hilarant, comme toujours, dans la peau d’un chef de police blasé et complètement dépassé par les événements. À ses côtés, Joséphine de Meaux livre une des performances les plus amusantes du film sous les traits d’une policière qui n’a pas la langue dans sa poche. «  (Le Journal de Montreal)