En ligne sur Eventive: La belle époque, de Nicolas Bedos

Visions Ouest Productions a lancé les 28e Rendez-vous du cinéma québécois et francophone le 18 février 2022 au SFU Woodward’s, 149 West Hastings Street à Vancouver. Une programmation en salle et en ligne est offerte aux cinéphiles jusqu’au 31 mars 2022.

Le film La belle époque a été présenté sur Eventive dès la mi-mars 2022.


Un film de Nicolas Bedos, France, 2019, 115 min, avec Daniel Auteuil, Guillaume Canet, Doria Tillier, Fanny Ardant, Pierre Arditi, Denis Podalydès.t.

Synopsis: Victor, un sexagénaire désabusé, voit sa vie bouleversée le jour où Antoine, un brillant entrepreneur, lui propose une attraction d’un genre nouveau: mélangeant artifices théâtraux et reconstitution historique, cette entreprise propose à ses clients de replonger dans l’époque de leur choix. Victor choisit alors de revivre la semaine la plus marquante de sa vie: celle où, 40 ans plus tôt, il rencontra le grand amour.

Synopsis: Victor, sixty something, has his life turned upside down the day that Antoine, a flourishing entrepreneur, offers him a unique new brand of entertainment. Using a combination of theatrical artifice and historical re-enactment, his company gives its clients the opportunity to delve back into the period of their choice. Victor decides to relive the most memorable week of his existence, 40 years earlier, when he met the love of his life

Il a aussi été présenté en mars 2021 (27eRVCQF) et pendant le Printemps des Rendez-vous 2021.

***

« Bedos’ film is a very charming French movie that plunges its audience into a nostalgia of an imagined 1970s–a period the director himself hasn’t experienced. Sitting in the make-shift 1970s café in Lyons, Victor says how he misses the time when everyone was smoking and looking at each other instead of their mobile phones.” (Forbes)

***

« La comédie sentimentale de Bedos était présentée hors compétition au dernier Festival de Cannes, un endroit où on aime bien les longs métrages qui évoquent le cinéma. Or, ce film se retrouve à la croisée de La nuit américaine de Truffaut (1973) et Ma femme est une actrice d’Yvan Attal (2001). Comprendre qu’il est question de la grande illusion qu’est le 7e art et que le réalisateur français joue habilement sur le va-et-vient entre la réalité et la fiction (ainsi que la temporalité). Sa caméra mobile et des dialogues vifs contribuent au plaisir du spectateur. » (LeSoleil)son rythme et selon ses termes. » (LeSoleil)