En ligne sur Eventive: HAUTE COUTURE, de Sylvie Ohayon

HAUTE COUTURE

Un film de Sylvie Ohayon, France, 2021, 101 min, avec Nathalie Baye, Lyna Khoudri, Pascale Arbillot.

Synopsis : Première d’atelier au sein de la Maison Dior, Esther participe à sa dernière collection de Haute Couture avant de prendre sa retraite. Un jour, elle se fait voler son sac dans le métro par Jade, 20 ans. Mais celle-ci, prise de remords, décide de lui restituer son bien. Séduite malgré elle par l’audace de la jeune fille et convaincue qu’elle a un don, Esther lui offre la chance d’intégrer les ateliers de la Maison Dior comme apprentie. L’occasion de transmettre à Jade un métier exercé depuis toujours pour la beauté du geste…

Synopsis: Esther is at the end of her career as Head Seamstress at Dior Avenue Montaigne workshop. One day, she gets her handbag stolen in the metro by a 20 year old woman, Jade. Instead of calling the police she decides to take care of Jade. She sees in her the opportunity to pass on her skills, the craft of dressmaking, her only wealth. In the frenetic world of Haute Couture, Esther will give Jade la beauté du geste, a way to reach beyond herself.


Le film HAUTE COUTURE est disponible en ligne sur Eventive à partir du 21 décembre 2022 / Watch online:


Notes et critiques:

L’avis de CINEMANIA :

Lyna Khoudri, César du Meilleur espoir féminin en 2020 pour son rôle dans PAPICHA de Mounia Meddour, fait face à la grande Nathalie Baye (récemment vue dans JUSTE LA FIN DU MONDE de Xavier Dolan et GARÇON CHIFFON de Nicolas Maury) : un duo aussi inattendu que naturel, dans ce beau drame social sur la transmission. D’origine juive tunisienne et kabyle, Sylvie Ohayon a passé toute son enfance dans une cité à La Courneuve, qu’elle a quittée en 1996. La cinéaste témoigne : “Je voulais filmer les couturières au travail et montrer que derrière la magnificence, il y a des gens normaux qui fabriquent de la magie.”

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« Comédie dramatique, Haute couture aborde un sujet de société : le regard porté sur la banlieue. Les personnages – touchants, parfois drôles – s’expriment dans une gouaille banlieusarde, omniprésente et parfois truculente, bien que l’on s’interroge si elle est vraiment de mise dans les ateliers Dior. Si la haute couture est la toile de fond du film, elle n’est pas le centre du propos – même si l’atmosphère d’un atelier est bien retracée -. Ce sont les rapports humains, pas toujours si simples, qui tiennent la dragée haute. Haute couture n’est pas un conte de fée mais en contient tous les ingrédients. » (FranceTvInfo)